Smile & Pay est une start-up française qui propose un dispositif unifié afin d’encaisser en ligne, ou en magasin. Il s’agit d’un système indépendant des banques traditionnelles. En premier lieu, Smile & Pay propose des terminaux de paiement sobres et simples d’utilisation.
Il en existe 3 par ordre croissant de prix : le Pocket +, le Maxi +, et le Super Smile. Ces terminaux offrent toutes les fonctionnalités d’un terminal de paiement traditionnel (y compris le sans contact) mais sans les frais et la législation contraignante qui accompagnent l’achat d’un TPE classique.
Par ailleurs, afin de bénéficier d’un terminal Smile & Pay, il n’est pas nécessaire de faire une quelconque démarche auprès de sa banque : il suffit simplement de s’inscrire sur le site et de commander son terminal ultra-sécurisé.
Smile & Pay accueille tous les professionnels, entrepreneurs, sociétés, commerçants, agriculteurs… munis d’un SIRET et d’un compte bancaire, et ce, quel que soit leur chiffre d'affaires. Enfin, Smile & Pay offre le service Click & Smile, qui aide les commerçants à créer leur boutique en ligne et à développer leur service de Click & Collect.
La direction de Smile & Pay
De nos jours, Smile & Pay est dirigée par son directeur général, Nicolas de Labarre. Avant de se lancer dans l’aventure Smile & Pay, Nicolas de Labarre a travaillé pour différentes banques : le Crédit Agricole, en tant que Chef de Projet Marketing Stratégique (2006-2010), BforBank en tant que Responsable Pilotage et Qualité Service Client (2012-2014), à nouveau au Crédit Agricole en tant que Responsable Digital Commerce (2014-2018), puis brièvement à Paylib, en tant que Directeur Produit (2018-2019). Enfin, en juin 2019, il se lance dans l’aventure Smile & Pay.Smile & Pay lève 5 millions d’euros pour aider les petits commerçants à faire face à la crise
Avec la crise sanitaire, les cartes bancaires, ainsi que les paiements sans contact et à distance ont démontré avec force leur utilité. Cependant, 55% des professionnels français n’acceptent pas la carte bancaire, et 80% n’ont pas de visibilité sur le web. C’est pourquoi la solution Smile & Pay a fortement séduit certains investisseurs. Notamment : Evolem Start, Truffle Capital (qui avait incubé la société en 2015), et un pool de Business Angels.Les 5 millions d’euros récoltés permettront à Smile & Pay de développer de nouveaux modes d’encaissement “sans contact” : par lien, entre mobiles… L’entreprise compte également étoffer son équipe commerciale, et développer une stratégie marketing plus agressive. Enfin, Smile & Pay souhaite développer des partenariats auprès des banques, des assurances, et des éditeurs de logiciels.
Smile & Pay recrute !
Grâce à cette levée de fonds, l’équipe Smile & Pay s'agrandit. L’entreprise recherche notamment :- Un.e technicien.ne d’exploitation informatique pour l’antenne de Trégueux (CDI) ;
- Un.e analyste KYC, pour l’antenne de Puteaux (CDI) ;
- Également, un.e data analyst junior en alternance (Puteaux, CDI) ;
- Un.e junior supply chain manager en stage (Puteaux) ;
- 3 développeur.es : pour mobile, Java, et Front ReactJs (Puteaux, CDI).
Il est également possible d’envoyer une candidature spontanée.
Le marché du terminal de paiement simplifié
Smile & Pay propose une commission de 1,75 % HT (ou alors 0,75 % + 24 € HT par mois). La commission à 1,75 % s’aligne avec les principaux concurrents du marché : iZettle, Sumup, et MyPos. En effet, toutes ces entreprises proposent également des terminaux de paiement simplifiés. On peut également noter qu’aucun de ces 3 concurrents ne propose d’abonnement, contrairement à Smile & Pay.Par ailleurs, iZettle et Sumup proposent des TPE moins chers que Smile & Pay : 79 € pour iZettle, et 199 € pour Sumup (contrairement à 249 € pour Smile & Pay). Cependant, il est possible que la qualité de ces terminaux ne soit pas au niveau de celle des Smile & Pay.